Le fait de voir un avenir très pessimiste dans tous les domaines suscite, surtout chez les jeunes générations, un état d’esprit irraisonnable.
Nous avons tous un objectif dans la vie. Celui des années 60 était la liberté d’expression, celui des années 70 la liberté sexuelle, celui des années 80 d’être le meilleur dans sa profession, celui des années 90 devenir un génie à force de travail… puis, dans les années 2000, le "trauma" du 11 septembre, l'attentat qui a détruit le symbole du World Trade Center et ses deux tours new-yorkaises, semble avoir imposé l'idée que la vie ne s’arrête pas à la réussite professionnelle et que le travail n’est plus une fin en soi. Cette génération est aujourd’hui majeure et son adolescence a été "bercée" par le terrorisme, induisant un tropisme d'ultra radicalisation générale, quels que soient les débats, avec notamment des poussées paroxystiques dès lors qu'il s'agissait du climat, du progrès, des sciences… Cette même génération pour son entrée dans le monde du travail, a été percutée par la crise Covid19, le "virus chinois" comme disent les Américains, qui a conduit les autorités, dépassées, à réactualiser à l'échelle de pays entiers, des procédures médiévales de quarantaine plus carcérales que sanitaires, au mépris du consentement des citoyens, des individus, qui ont découvert que l'on pouvait les embastiller, les priver de leur liberté de déplacement, sous prétexte de garantir si ce n'est leur bonheur, du moins leur "santé"...
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